

Dissertations : La liberté
Sujets de philosophie : la liberté.
Voici une liste des principales dissertations de philosophie sur la liberté :
– La liberté est-elle une illusion ?
– L'homme est-il un empire dans un empire ?
– La politique doit-elle préserver ma liberté ?
– Ma liberté exclut-elle celle des autres ?
– Sommes-nous libres de nos décisions ?
– La liberté est-elle une malédiction pour l'homme ?
– La liberté est-elle compatible avec l'appartenance à une communauté politique ?
– Peut-on apprendre à être libre ?
– L'Etat est-il l'ennemi de la liberté ?
– Peut-on cesser d'être libre ?
– Peut-on acheter une liberté ?
– Peut-on admettre des limites à la liberté ?
– La religion est-elle un obstacle à la liberté de penser ?
– La liberté est-elle absence de contraintes ?
– Obéir est ce renoncer à sa liberté?
– Le travail est-il une liberté?
– Peut-on envisager une liberté sans responsabilités ?
– La liberté est-ce le pouvoir de tout faire ?
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C’est tellement compliquer
c’est très bon
L’État n’a pas l’ennemi pour toutes action des gens mais l’État donner sont point vie a la liberté personne. Alors que chacun sont libres des chose leur besoins, sans participe de l’État leur contribution des part. Je vous remercions c’est mon part petit idée vous pouvez mes guide en bon chemin.
l’État à t-il pour finalité la liberté de l’homme ?
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La liberté - dissertations de philosophie
- Autrui est il condition ou limite à ma liberté ?
- Autrui est-il une condition ou un obstacle à ma liberté ?
- Dire non, cela suffit-il à être libre ?
- Doit-on apprendre à être libre ?
- Est-il nécessaire de vouloir toujours plus de libertés ?
- Est-on d'autant plus libre qu'on a des raisons d'agir comme on le fait ?
- Est-on d’autant plus libre qu’on est conscient ?
- Etre libre est-ce ne renconter aucun obstacle ?
- Etre libre est-ce pouvoir choisir ?
- Faut-il choisir entre être heureux ou être libre ?
- Faut-il préférer la liberté au bonheur ?
- Faut-il préférer la révolte à la résignation ?
- La liberté comporte-t-elle des degrés ?
- Être libre, est-ce faire ce que l'on veut ?
- Être libre, est-ce nier les déterminismes ?
Faut-il fixer des limites à notre liberté ?
Par Olivier
Rédigé le 15 décembre 2022
7 minutes de lecture

Introduction
Les libertés n'existent que grâce à leurs limites, la liberté, une obligation.
Nous vivons au sein d'une société où les Hommes sont aujourd'hui considérés comme libres et égaux et dans un Monde où la volonté des peuples à disposer d'eux-mêmes, est reconnue (principe fondamental de l'ONU). Les individus ont ainsi la possibilité de se déplacer librement, d'exprimer leurs opinions ou d'élire leur propre gouvernement. Malgré le fait que cette notion de liberté soit logiquement liée à celle du bonheur, nous pouvons être amené à nous poser les questions suivantes :
Notre liberté doit-elle nécessairement entrevoir des limites ? L'absence de lois et de contraintes n'aurait-elle pas tendance non seulement à nuire à notre bonheur mais également à celui des autres ? Être libre, est-ce faire ce que l'on veut ?

Avant de débuter dans notre réflexion, prenons le temps de définir la notion de liberté : La liberté est la faculté d'agir selon sa volonté en fonction des moyens dont on dispose sans être entravé par le pouvoir d'autrui. Elle est donc la capacité à se déterminer soi-même à des choix qui dépendent de nous. Au sens physique, la liberté exprime l'absence de contraintes alors qu'elle désigne au sens politique d'abord l'indépendance à l'égard de tout pouvoir. En revanche, la liberté morale suppose la responsabilité de ses actes et la possibilité de choisir entre le bien et le mal. La liberté concerne donc globalement tout ce qui s'oppose à la nécessité.
Dans le but de répondre à nos différentes problématiques, nous opterons pour un plan classique, c'est-à-dire dialectique. Nous méditerons pour commencer sur les raisons qui nous poussent à penser qu'il est essentiel d'imposer des limites à notre liberté puis nous aborderons le fait selon lequel des limites ne sont pas indispensables puisque l'Homme est condamné à être libre.

Un encadrement par et pour les autres

Sartre écrivit au sein d'un de ses ouvrages : « Je ne puis prendre ma liberté pour but que si je prend également celle des autres pour objectif ». Cette condition exprime l'importance d'une liberté individuelle régie par un certain nombre de lois en faveur de la collectivité. Un Homme avec une entière liberté aurait donc tendance à nuire à la société puisqu'il pourrait exercer un pouvoir absolu sur bon lui semble sans se soucier d'autrui. Nous devons par conséquent nous soumettre à une législation bâtie à partir des droits de l'Homme et avons le devoir de respecter les droits des autres. Ces droits créent donc des obligations, qui loin de limiter les libertés, les garantissent au contraire.
Nous devons en outre nous sensibiliser et nous assigner au respect des devoirs concernant la morale en nous efforçant pour cela de différencier le bien du mal. Si Rousseau écrivit : « L'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté », c'est bien parce que cet ensemble de règles a été instauré pour rendre non seulement l'Homme libre mais pour le conduire également vers le bonheur, c'est-à-dire vers un état durable de satisfaction et de plénitude. L'individu doit donc faire preuve de morale et de devoirs envers les droits de ses voisins.
Dans l'article 4 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, il est écrit que "La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui". En effet, c'est parce que tout le monde a un droit égal à la liberté que cette dernière est limitée par celle des autres et la leur par la mienne. Nous ne jouissons pas donc d'une liberté absolue, sinon il n'y en aurait plus aucune dans notre société. La liberté est donc une condition à notre vie en société, en démocratie dans notre cas. C'est grâce à elle que nous vivons dans ce que l'on appelle un "Etat de droit". Cela signifie que c'est l'Etat qui veille à ce que les libertés de tout le monde soient respectées. L'outil qu'il utilise s'appelle donc la loi.
C'est d'ailleurs dans la loi que l'on retrouve tous les principes de garantie des libertés : loi concernant la laïcité, loi concernant la liberté de circuler, loi concernant la liberté de propriété ainsi qu'une multitude d'autres. On retrouve donc la notion d'intérêt général, par lequel l'intérêt de la société toute entière prime sur l'intérêt particulier. Les libertés d'un individu ou d'un groupe d'individus est donc toujours moins importante que celles de la société entière. De nombreux exemples viennent illustrer cette notion : le pass sanitaire dans le cadre de la pandémie COVID de 2020, l'expropriation pour la création des routes. La santé publique ou la sûreté nationale sont toujours prioritaires sur les libertés individuelles.
Où trouver un philosophie cours ?
En outre, il serait particulièrement intéressant que nous nous interrogions sur l'idée que l'Homme ne doit pas être assujetti d'un trop grand nombre d'objectifs et qu'il lui est tout autant bénéfique qu'il se fixe lui-même des limites, en usant pour cela de sa raison. En ce qui me concerne, je suis très séduit par la manière avec laquelle Schopenhauer conçoit le bonheur : « Pour ne pas devenir très malheureux, le moyen le plus certain est de ne pas demander à être très heureux ». L'individu doit ainsi allier ses actes à la raison pour se fixer des limites afin de ne pas nuire à son bonheur. Il doit donc toujours garder à l'esprit qu'il est incessamment contraint aux conditions de son existence et qu'il doit ainsi adapter ses désirs pour pas convoiter l'impossible ou l'inatteignable.

Ainsi ces arguments plaident en faveur du fait qu'il est essentiel que des limites régissent notre liberté au quotidien, sous peine de nuire non seulement à notre bonheur mais à celui des autres. Pour autant, notre liberté doit-elle nécessairement entrevoir des limites supplémentaires sachant que nous n'avons jamais été, et cela dès notre naissance, entièrement libre ?
Dans son ouvrage sur l'Éthique, Spinoza expliquait : « Nous nous pensons libre par le simple fait que nous avons conscience de nos actions mais sommes ignorant des causes par lesquelles nous sommes déterminées ». Nous n'aurions donc finalement plus totalement conscience de ce pourquoi nous agissons et ne sommes ainsi plus tellement libre dans nos décisions et nos choix.
Pour autant, selon Sartre, « l'Homme est condamné à être libre » et fait exception à la nature en échappant à tout déterminisme. Il n'est donc pas en soi une nature mais une espèce possédant une sorte de liberté radicale et absolue. Il choisit totalement son existence et en est pleinement responsable. Le monde dans lequel nous vivons n'est en outre pas réductible à des lois prévisibles ce qui nous laisse songer qu'il subsiste un indéterminisme fondamental dans la nature.
Nous ajouterons aussi qu'au sein du monde dans lequel nous cohabitons, aucune réelle liberté ne persistera, et cela en raison du modèle adopté : le capitalisme. En effet, que pourrait être la liberté du pauvre face à celle du riche ? Marx prenait l'image « d'un renard libre dans un poulailler libre ». Garantir la liberté de tous c'est donc la rendre possible pour chacun. Dans le cas contraire, nous ne pourrions que l'assimiler à un principe sans contenu réel. Évidemment, nous n'atteindrons jamais totalement l'égalité, la question n'est donc plus de fixer des lois pour tous, mais de les adapter sur l'équité des rapports dans le but d'aider au maximum ceux qui le nécessite.
La liberté implique donc également une responsabilité : celle de ses actes. Pour cause, elle est limitée par les lois de notre société. Par exemple, si par ma liberté je mets en danger ou je dérange quelqu'un, je peux être poursuivi pénalement. De même, si quelqu'un exerce sa liberté au delà de ma sécurité, je suis en droit de me faire défendre afin de pouvoir exercer ma propre liberté. Dans l'article 4 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, il est également inscrit que "Les bornes bornes [de notre liberté] ne peuvent être définies que par la loi". La loi est donc la garante de notre liberté et exerce sur nous tous une protection et non pas une simple limitation. C'est le cas par exemple du code de la route, qui définit les règles à respecter au volant, afin que tout le monde soit libre de circuler en toute sécurité.
Nous avons donc mené une réflexion sur la liberté et sur les limites qu'il était nécessaire de nous fixer.

Les différents arguments consentis nous ont permis d'aboutir aux conclusions suivantes : les lois et les devoirs sont essentiels dans une société afin de garantir la liberté individuelle mais également collective. L'individu doit en outre agir avec moralité en usant de sa raison pour ne pas nuire à son bonheur et à celui d'autrui. L'Homme ne pourra en outre être totalement libre (Spinoza) bien qu'il soit pourtant condamné à l'être (Sartre). La seule chose qui puisse maintenant influer sur l'égalité se situe au sein de notre modèle et dans les mains de ceux que nous élisons pour diriger notre Monde. L'intérêt général et la responsabilité sont donc les deux notions qui s'imposent quand il s'agit de faire régner la liberté au sein d'une société. Et sur le plan économique, il y a encore bien des progrès à faire selon Marx...
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Je suis médecin et je cherche une méthode pour comprendre faire un bon devoir de philosophie,j’étais perdu en terminales, mo souhait de savoir poser les problématiques

Bonjour, avez-vous essayé de contacter l’un de nos professeurs pour recevoir une aide personnalisée ?
j’ai besion d’un professeur pour me détailler la notion du liberté.
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J’AI vraiment besoin de votre aide
Bonsoir je vous pose la question de m’expliquer la liberté individuelle et le determinisme sociologique

Bonjour, La réponse à cette question est dans l’article. Bonne journée !
dissertation philo liberté
En relation, faut il apprendre a etre libre.
Au contraire, la liberté semble naturelle, spontanée, dégagée de toute contrainte. Ainsi, si l’on a besoin d’apprendre à être libre, cela signifie qu’on ne l’est pas au départ. La liberté ne serait donc pas donnée. Il serait donc nécessaire d’apprendre la liberté. Cela implique-t-il pour autant que cela soit un devoir pour l’homme ?….
Dissertation peut on obéir librement ?
Mais celui si pourrait totalement désobéir et dans ce cas là, exprimer sa liberté. On ne peut être libre avec toutes les contraintes qui se présentes à nous. Il y a un ensemble de limite qui font obstacle à mon libre arbitre. Il y a tout d'abord l'ordre de la nature. On ne peut obéir librement à certaines lois indépendantes de notre volonté.….
Peut on être plus ou moins libre ?
Peut-on être plus ou moins libre ? Tout d'abord, la liberté est perçue différemment selon l'individu. Il peut choisir s'il veut être « plus ou moins libre », expression peu claire certes, mais il y a des degrés à celle-ci. Être libre signifie la faculté d'agir selon la volonté de l'Homme en fonction des moyens dont il dispose sans être entravé par le pouvoir d'autrui. Il est libre lorsqu'il agit à sa guise dans ses faits et gestes.….
Etre libre est-ce faire ce qui nous plait ?
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Liberté epictete philo
Il ne veut pas modifier ce qui ne dépend pas de lui. Aussi, il veut les contraintes sur lesquelles il n'a pas de prise. Pour cette raison, « la liberté consiste à vouloir que les choses arrivent […] comme elles arrivent ». Question 1 Ce texte s'interroge sur la nature de la liberté. Il la conceptualise.….
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Exemples de sujets de dissertation en Philosophie sur la liberté
Sur quels sujets peut-on tomber lors d'une dissertation de Philosophie sur la notion de liberté ? Pour chaque exemple, nous détaillerons les grandes parties et indiquerons les oeuvres à étudier.

Credit Photo : Flickr smilla4

Sujet 1 - L'homme est-il condamné à être libre ?
I - Sujet sartrien par excellence (« L'homme est condamné à être libre » écrit Sartre dans L'Être et le Néant , repris dans son Existentialisme est un humanisme ), la racine de la réflexion est à glaner du côté de l'école de pensée existentialiste. Cependant, elle peut se rattacher principalement à une doctrine de la foi élaborée par le discours thomiste au sein de la scolastique, mais aussi dans les conflits entre les écoles catholique et protestante au XVI e siècle.
II - Le premier temps du devoir pourrait s'attacher à explorer la genèse de l'idée de liberté dans la doctrine chrétienne : « Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réellement libres » (Jean : 8.36) (Thomas d'Aquin, Leibniz, Descartes). Le second temps du devoir inciterait à se pencher sur les implications métaphysiques dans les postures psychologiques (Kierkegaard) et politiques (Camus, Sartre) des individus confrontés au vertige de cette terrible et unilatérale présence qu'est la liberté.
Kierkegaard, Soren. Ou bien… ou bien (1843) Sartre, Jean-Paul. L'Être et le néant (1943) Camus, Albert. Le Mythe de Sisyphe (1942) Saint Thomas d'Aquin, Somme théologique (1273) Leibniz, G. W. Discours de métaphysique (1686) Descartes, René. Méditations métaphysiques (1641)
Sujet 2 - « La liberté est le bien suprême pour ceux-là seuls qu'anime la volonté d'être hérétiques »
I - Abscons en apparence, ce sujet offre en réalité une variété d'applications extrêmement large. Elle est tirée de l'ouvrage Syllogismes de l'amertume (1952) du penseur roumain Emil Cioran. La liberté peut être pensée aussi bien d'un point de vue morale (notions de « bien suprême » et d'hérésie) que métaphysique (notion de « volonté »). Cioran, confronté individuellement à l'angoisse permanente d'être né (il écrit un De l'inconvénient d'être né , 1973) n'aura de cesse de confronter ses aphorismes à l'éthique de vie qu'il « traîne » tout au long de son existence. Pessimiste invétéré, le philosophe invite à considérer le fait que la liberté ne serait qu'exclusivement recherchée, en tant que bien suprême, que par ceux animés d'une puissance singulière (volonté de puissance nietzschéenne, mais aussi volonté « totale » de Schopenhauer) : la volonté d'un « pas de côté » ( épochè en grec). La liberté, paradoxalement, serait donc un « bien » pour les « hérétiques ».
II - Le premier temps du devoir pourrait être consacré à la portée purement morale qu'implique le schisme entre « bien suprême » d'un côté et « volonté d'être hérétiques » de l'autre : il doit être l'occasion d'examiner l'apparent oxymore que constitue cette proposition et d'en déduire une approche métaphysique en réfléchissant aux axiomes de ces deux notions : l'hérétique, même en devenir, est-il un être libre en puissance (Thomas d'Aquin, Leibniz, Spinoza) ? Le second temps du devoir se bornera à détailler les conséquences éthiques que suscite cette acception de la liberté dans le champ politique, de la « vie de la cité » ; dans son organisation sociale. La liberté n'est-elle pas toujours l'occasion d'être l'hérétique de la religion, de la doxa de son temps ? (Cioran, Sartre, Foucault).
Saint Thomas d'Aquin, Somme théologique (1273) Leibniz, G. W. Discours de métaphysique (1686) Spinoza, Baruch. Traité théologico-politique (1670) Cioran, Emil. Syllogismes de l'amertume (1973) Sartre, Jean-Paul. L'Existentialisme est un humanisme (1946) Foucault, Michel. Surveiller et punir (1975)
Sujet 3 - La liberté et le libre arbitre
I - L'idéologie doxique associe très souvent liberté et libre arbitre. Pour autant, dans la tradition philosophique et métaphysique, les deux concepts ont fait l'objet d'une dissociation constante, en particulier dans la sphère théologique. Le sujet invite à penser les liens (« et ») qui peuvent exister entre liberté et libre arbitre, mais également la distinction entre ces deux notions qui ne sont pas réductibles l'une à l'autre. Le devoir essaiera de concilier la réflexion définitionnelle (ou eidétique ) de la liberté et du libre arbitre et, au terme de la clarification sémantique, les intrications entre ces deux concepts qui s'articulent au sein d'une réflexion métaphysique sur la condition de l'homme.
II - Deux façons d'aborder le sujet, parmi de nombreuses manières de faire. La première consistera à clarifier sémantiquement, eidétiquement et idéologiquement les notions de liberté et de libre arbitre. La clarification faisant l'objet d'une première partie, elle mènera nécessairement aux intrications entre éthique et métaphysique dans une seconde partie, bornées en cela par les choix effectués en amont par le devoir qui a restreint le champ de ses applications dans la première partie. La seconde façon d'aborder le sujet est sans doute la plus schématique, caricaturale et en cela, nuançable : elle consiste à prendre le point de vue des « absolutistes » du libre arbitre (négateurs de toute liberté : les déterministes les plus farouches) lesquels en tirent des leçons pour l'organisation gnoséologique (Aristote), historique (Hegel) et politique des structures du monde (Marx). Les déterministes s'opposent en cela aux partisans les plus radicaux de la liberté qui reprend le flambeau de la formule sartrienne, « l'existence précède l'essence », dans les trois catégories précitées. L'organisation de la connaissance, l'organisation scientifique, est désormais qualifiée d' « indéterministe » (Popper) ; l'histoire est faite par les individus à échelle de la liberté qui est la leur sans possibilité autre que de l'embrasser pleinement (Camus) et la politique devient l'arène de la liberté absolue du Moi comme éthique suprême de l'inconditionné et de l'indéterminable (Stirner).
Aristote, Physique (v. 350 avant J.-C.) Hegel, G.W.F. Leçons sur la philosophie de l'histoire (1830) Marx, Karl. Le Capital (1867) Popper, Karl. L'Univers irrésolu. Plaidoyer pour l'indéterminisme (1984) Camus, Albert. L'Etranger (1942) Stirner, Max. L'Unique et sa propriété (1844)
Sujet 4 - Existe-t-il vraiment une liberté sans contrainte ?
I - Sujet extrêmement classique. Selon la doxa , la liberté ne serait pas bornée : il s'agirait là de la véritable liberté, une liberté totale. Pourtant, le droit n'a cessé de rappeler que les droits ne pouvaient aller sans les devoirs ; que la liberté ne pouvait aller sans l'égalité ; que la liberté individuelle ne pouvait légitimement empiéter sur des libertés publiques. L'articulation d'un tel sujet s'appuie sur le petit mot « vraiment » qui marque la suspicion, la défiance, et appelle surtout à la méfiance vis-à-vis d'un sujet qui peut sembler au premier abord aisé à examiner, mais qui relève en vérité d'un authentique jonglage entre liberté publique et liberté individuelle, droits et devoirs et limites de la contrainte et limites de la liberté. Assez insolemment , le sujet permet d'aborder des penseurs plus atypiques, comme Stirner en politique ou Michelstaedter en éthique.
II - Le premier temps du devoir se structure principalement autour de la définition de la notion de « liberté » et de « contrainte ». Ces deux définitions permettent par la suite de comprendre les interactions et les jeux de balancier entre ces enjeux notionnels qu'il convient d'analyser et d'interroger : la liberté comme conformité à la loi de l'impératif catégorique, c'est-à-dire la liberté comme morale (Kant) ; la liberté comme persistance dans son être, comme acceptation et continuation du déterminisme essentiel (Schopenhauer) et la liberté comme donnée unilatéralement et sans possibilité de la rejeter (Sartre). Les questionnements peuvent aboutir, dans une seconde partie, à interroger les limites de ce raisonnement somme toute très évident dès lors que l'on creuse un peu le sujet : il pourrait exister, selon une tradition anarchiste, une liberté absolue en matière politique (Stirner) ou en matière éthique (Michelstaedter), de même que dans les réflexions de la causalité phénoménologique et scientifique (Popper).
Kant, Emmanuel. Critique de la raison pure (1781) Schopenhauer, Arthur. Le Monde comme volonté et comme représentation (1819) Sartre, Jean-Paul. L'Existentialisme est un humanisme (1946) Stirner, Max. L'Unique et sa propriété (1844) Michelstaedter, Carlo. La Persuasion et la rhétorique (1913) Popper, Karl. L'Univers irrésolu. Plaidoyer pour l'indéterminisme (1984)
Sujet 5 - Liberté politique et politique de liberté
I - Le type de « sujet liant » qui utilise la conjonction de coordination « et » nécessite toujours de penser les convergences et les divergences, les articulations et les différenciations entre les deux notions ou « blocs notionnels » principaux. Ici, d'une part : « liberté politique » ; au milieu, « et » ; d'autre part : « politique de liberté ». L'inversion du terme tantôt propositionnel, tantôt postpositionnel, n'est pas anodin et change radicalement le sens des intitulés. Il faut donc prendre garde à ce type de formulation qui semble induire une fausse interchangeabilité entre les deux parties d'un même sujet. « Liberté politique » n'est pas équivalant à « politique de liberté » : il peut exister, dans une société politique quelconque, une liberté politique sans que l 'É tat désigné ne conduise nécessairement une politique de liberté (ex. : le droit de vote, liberté politique, existe en Corée du Nord dont le régime récuse l'idée fondamentale de liberté publique : ce faisant, le régime, par sa négation de toute politique de liberté, supprime toute possibilité de portée effective de la liberté politique de vote en ne lui permettant que de s'exprimer et non de s'imprimer sur les réformes de l'État. Or une liberté politique dans un État récusant toute politique de liberté demeure-t-elle réellement une liberté ?).
II - Le premier temps du devoir pourrait se concentrer sur l'éclaircissement des blocs notionnels : liberté politique (Cicéron) et politique de liberté (Montesquieu, Marx). Dans la même partie, examiner toujours les intrications et les manières dont les deux blocs se délient, s'affrontent, se confrontent ou sont, le cas échéant, complémentaires. Le devoir peut évidemment choisir une proposition et s'y tenir : si l'on considère que les deux notions sont fondamentalement complémentaires et que l'une ne peut aller sans l'autre, alors telle direction sera envisagée ; sinon, le cheminement intellectuel exemplifiera les divergences existentielles entre liberté publique et politique de liberté, voire leur autonomie conceptuelle. Dans ce cas-ci, il est sans doute préférable d'opter pour leur nécessaire complémentarité : il ne pourrait exister de liberté publique véritable sans politique de liberté au fondement du contrat social (Kant), mais, de même, il ne peut exister de politique de liberté à l'échelle d'une société politique sans compréhension de la notion de liberté publique de la part de l'État (Rousseau) et des citoyens (La Boétie).
Cicéron. De Republica (v. 44 avant J.-C.) Montesquieu. De l'esprit des lois (1748) Marx, Karl & Engels, Friedrich. Le Manifeste du Parti communiste (1848) Kant, Emmanuel. Qu'est-ce que les Lumières ? (1784) Rousseau, Jean-Jacques. Du contrat social (1762) La Boétie (de), Étienne. Discours sur la servitude volontaire (1574)
Sujet 6 - La liberté est-elle toujours publique ?
I - Difficile à première vue d'admettre que la liberté ne puisse pas être « par essence » publique. Certes, l'on admet que des libertés individuelles puissent exister, mais peuvent-elles être réductibles au seul Moi ? Que vaut la liberté de pensée si elle n'est pas corrélée à la liberté d'expression ? Sur ce type de sujet, il faut admettre le présupposé suivant : la liberté pourrait ou ne pourrait pas être toujours publique. Le fait d'avoir choisi le terme « toujours » indique qu'elle pourrait être sporadiquement privée. Qu'entend-on par sphère publique et sphère privée quand est convoquée la notion de liberté ? À plusieurs échelles, la liberté peut faire l'objet d'une introspection autant qu'une expression . Les deux branches de cette liberté sont en vérité complémentaires et il s'agit de le démontrer : la liberté dans la sphère privée est complémentaire de la liberté dans la sphère publique, et vice-versa.
II - La liberté privée peut faire l'objet d'une introspection de nature éthique : le stoïcisme a exemplifié cette introspection en la matière (Marc-Aurèle) et la foi a servi de résistance à une « liberté » du domaine religieux institutionnel qui semblait écraser la liberté du for privé dans la relation privilégiée entre la créature et le Créateur, même si le premier reste radicalement soumis à la volonté du second (Luther). Le progrès scientifique et l'exploration des notions de conscient et d'inconscient ont amené à considérer un déterminisme psychologique où la psyché humaine semblait davantage soumise à des pulsions inconscientes qu'au libre choix de la volonté individuelle (Freud). La jonction freudienne peut amener la seconde partie du devoir. Elle pose en effet les jalons d'une réflexion d'interpénétration de la liberté individuelle et du déterminisme psychologique et les marges de manœuvre qui peuvent exister entre elles. Pour les penseurs de la modernité, la liberté du point de vue éthique a pu s'étendre à l'Autre et à son visage (Levinas) au fondement de la redécouverte de la condition humaine. Cette liberté, conditionnée à l'impératif catégorique en société (Kant) peut également s'exprimer dans le domaine du politique et de la vie de la cité qui contractualisent la notion de liberté et lui confèrent une expression juridico-sociale (Rousseau).
Marc-Aurèle. Pensées pour moi-même (180) Luther. Du serf arbitre (1525) Freud, Sigmund. L'Interprétation du rêve (1900) Levinas, Emmanuel. Difficile liberté (1963) Kant, Emmanuel. Critique de la raison pure (1781) Rousseau, Jean-Jacques. Du contrat social (1762)
Sujet 7 - La liberté peut-elle être une méthode ?
I - Ce qui doit frapper dans la formulation d'un tel sujet, c'est le verbe « pouvoir » aussi bien que le terme choisi « méthode ». Le verbe « pouvoir » renvoie autant à une permission éthique (ex. : puis-je faire cela ?) qu'à une possibilité productrice d'effets (ex. : peut-on penser la liberté ?). Dans ce type de sujet, il faut aborder les deux « bouts » de la corde interprétative. La majeure « liberté » doit être conjuguée avec la mineure « méthode » via les deux interprétations du verbe « pouvoir » dans la triade suivante : liberté-pouvoir-méthode. Quant à la notion de méthode, elle permet directement de se faire une idée sur la portée épistémologique ou phénoménologique du sujet. Autrement dit : la notion de liberté produit-elle des effets de nature méthodologique ? ou encore : est-il permis de penser que la liberté serait aussi une bonne conduite du « faire », une « orthodoxie » (de orthos : droit et doxa : opinion, en grec : « l'opinion droite ») de la « praxis » (ou action en grec).
II - Le premier temps du devoir peut légitimement s'appesantir sur les implications de la notion de « pouvoir » et de « liberté » : le pouvoir comme possibilité et comme permission (attention : et non comme puissance politique, par exemple !). La liberté est en cela extrêmement liée à ces notions : il ne faut toutefois pas perdre d'objectif votre reformulation du sujet qui doit coller au sujet initial. La première partie interroge évidemment les premiers liens qu'il peut exister entre « une liberté de pensée » et une « méthode de pensée » dans les domaines « préscientifiques » de la connaissance ou périphériques : la genèse biologique de la classification et de la taxinomie (Aristote), la théologie (Duns Scot) et la poétique (Todorov). Assez rapidement, le second temps du devoir sera dévolu au questionnement épistémologique (Descartes), phénoménologique (Merleau-Ponty) et directement scientifique (Bentham), où les implications de la méthode dans la liberté du chercheur (et vice-versa) sont évidemment primordiales.
Aristote. Histoire des animaux (v. 343 avant J.-C.) Duns Scot. De primo principio (v. 1280) Todorov, Tzetan. Poétique de la prose (1971) Descartes, René. Discours de la méthode (1637) Merleau-Ponty, Maurice. Phénoménologie de laperception (1945) Bentham, Jeremy. Déontologie ou science de la morale (1834)
Sujet 8 - Liberté ou sécurité ?
I - Sujet classique, les thèmes de la liberté et de la sécurité sont souvent corrélés dans le discours politique et dans la parole doxique. Mais la formulation du sujet doit toutefois interpeller : liberté « ou » sécurité n'est pas liberté « et » sécurité. Dans la formulation en « ou », l'exclusion formelle doit être respectée. Il s'agit de la liberté ou de la sécurité, de la liberté seule ou de la sécurité seule. Il ne peut y avoir de liaison entre les deux termes. Autrement dit, il va falloir faire un choix… ou remettre ce choix en question tout au long du devoir. Bien sûr, le thème de « liberté » doit être pensé sur des plans transversaux, mais surtout dans une dimension sociale, économique ou politique. Le thème de la « sécurité » est explicitement bien moins exploité dans la tradition philosophique. La discursivité autour du thème de la « liberté » a souvent écrasé, voire apporté du mépris pour la notion de sécurité, qui est pourtant fondamentale dans l'action humaine et dans la vie de la cité.
II - Un type de sujet articulé en « ou » permet d'apprécier aisément deux cadres de réflexion. Le premier temps du devoir peut être consacré à l'exploration eidétique (ou définitionnelle) des termes de « liberté » et de « sécurité ». Qu'est-ce que la liberté ? (Platon) Qu'est-ce que la sécurité ? (Hegel) Pourquoi les deux termes sont historiquement répertoriés comme antagonistes ? (Spinoza), Mais le second temps du devoir doit être consacré à une « réconciliation » formelle des deux termes et surtout, à leur complémentarité effective. Peut-on vraiment être libre si l'on n'est pas en pleine sécurité ? Pareillement, à quoi sert d'être en sécurité si ce n'est pour jouir de ses droits et exercer des libertés qui nous sont propres ? Cette réflexion emporte un questionnement d'ordre sociopolitique (Hobbes), dans la contemporanéité politique face à l'expérience d'un totalitarisme (Levinas) ou dans son articulation avec le Zeitgeist (ou « esprit du temps ») post-Seconde Guerre mondiale (Arendt).
Platon, Gorgias (v. 370 avant J.-C.) Hegel, G.W.F. Principes de la philosophie du droit (1820) Spinoza, Baruch. Traité théologico-politique (1670) Hobbes, Thomas. Léviathan (1651) Levinas, Emmanuel. Difficile liberté (1963) Arendt, Hannah. Condition de l'homme moderne (1958)
Sujet 9 - Esthétique de la liberté
I - La tournure du sujet implique de bien faire attention : qu'est-ce que la majeure ? Qu'est-ce que la mineure ? La majeure est l'objet principal de la réflexion du devoir. La mineure est le concept sur lequel s'articule la proposition majeure pour se déployer. Ici, la majeure, contrairement à ce qui frappe tout d'abord aux yeux, c'est la « liberté » : « attribut » de la majeure, « esthétique » de la liberté. L'esthétique, c'est la mineure, l'attribut. Autrement dit, la réflexion doit s'axer sur le mode esthétique de la liberté, et non sur le mode « libre » ou « libertaire » de l'esthétique ! Pour bien garder cela en tête, le devoir peut s'articuler de manière schématique sur des questions sans cesse reformulées : que signifie penser la liberté sur un mode esthétique ? Qu'est-ce que l'esthétique en tant qu'attribut de la liberté ? C'est en tout cas un sujet vaste, mais restreint dans son domaine d'articulation : la liberté en tant qu'esthétique (ou ais thesis , « science du sensible » en grec). Une vie éthique peut, par exemple, être une esthétique de l'existence et de la condition humaine.
II - La notion d'une « esthétique de la liberté » peut s'entendre en deux temps, ce qui correspond aux deux articulations du devoir. Le premier temps se réfère à l'esthétique au sens classique du terme, c'est-à-dire à l'intelligence de la beauté, notamment en matière d'art. La littérature a longtemps durant, mené une réflexion entre liberté de création ( poienin ) et expression sensible (Todorov). Le jugement du goût et la théorie esthétique ont fait l'objet de discours de recherche philosophique (Kant) ou appliquée, comme dans la querelle (Nietzsche). Le second temps du devoir prend racine dans l'exemplification éthique, notamment dans la vie du dandy iconoclaste dont la vie se sauve par l'esthétique libérée (Cioran), dans la distribution des parts de pouvoir sociopolitiques (Rancière) et dans l'action politique concrète (Rancière).
Cioran, Emil. La Tentation d'exister (1956) Rancière, Jacques. Le Partage du sensible. Esthétique et politique (2000) Rancière, Jacques. Mallarmé. La politique de la sirène (1996) Todorov, Tzetan. Poétique de la prose (1971) Kant, Emmanuel. Critique de la faculté de juger (1790) Nietzsche, Friedrich. Nietzsche contre Wagner (1888)
Sujet 10 - La liberté religieuse
I - Thème classique par excellence, il est nécessaire de s'interroger sur l'intrication entre pensée religieuse (et donc par essence dogmatique ) et liberté. Comment les religions peuvent-elles concilier l'expression dogmatique et l'expression de la liberté des fidèles ? Les notions d'hérétique, d'orthodoxie ou de vérité divine ne sont-elles pas, par essence, contraires à la recherche constante qu'implique la disposition à la liberté ? Le devoir peut s'y appesantir de mille et une façons.
II - En premier lieu, il convient de questionner la doctrine théologique autour de l'évolution scolastique sur la question de la liberté dans le champ religieux. Elle recouvre les notions de rétribution et de rachat du péché afin de jouir pleinement de la liberté confiée par Dieu à l'homme (St. Augustin), mais aussi celle de l'émancipation progressive de la conception purement dogmatique pour une réflexion sur le sens de la liberté dans l'empire du religieux (St. Thomas d'Aquin). Le protestantisme change la donne en conférant à la liberté une dimension prépondérante qu'étouffait la doctrine catholique préalable, même si elle reste strictement encadrée par les limites finales que Dieu lui attribue (Luther). La seconde étape du devoir consiste à montrer que la liberté, loin d'être uniquement pensée au sein du système religieux, s'est exprimée en dehors, voire contre ce dernier. C'est le cas par exemple des Lumières (Kant), dont la tolérance est le principal argument dans une fin d'émancipation politique (Voltaire). La contemporanéité politique a notamment pu l'associer au conditionnement et à un instrument d'asservissement des populations (Marx).
St. Augustin, La Cité de Dieu (426) St. Thomas d'Aquin. Somme théologique (1273) Luther, Martin. Du serf arbitre (1525) Kant, Emmanuel. Qu'est-ce que les Lumières ? (1784) Voltaire. Lettres philosophiques (1734) Marx, Karl. Critique de la philosophie du droit de Hegel (1844)
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